Quand je serai morte
Je te donne le droit de
Piner mon cadavre.
Dans ces conditions, est-ce que la nécrophilie est éthique? Veuillez expliquer pourquoi dans un essai de moins de dix pages. À remettre la semaine prochaine, cela comptera pour 15% de la note finale, merci.
Un fois n’est pas coutume (de toute façon, je n’ai plus le temps de développer de nouvelles habitudes, il ne reste que soixante-seize gouttes à publier), j’ai un autre senryū à vous soumettre, qui est une variante du précédent. Il va comme suit:
Faire don après
Ma mort de mon corps à un
Club de nécrophiles.
Ça me fera donc mille-et-un senryūs et ça, c’est un non catégorique. Je vous demande donc de voter – même si la démocratie est morte – pour la version qui sera incluse dans le texte officiel de Mille gouttes opalines (que vous pourrez télécharger en novembre en format epub et pdf).
Selon vous, Ça devrait être la première version ou la seconde? Exprimez-vous en commentaires ! Je ferai tirer une copie d‘Angélique de Montbrun par Félicité Angers parmi tous ceux et celles qui auront laissé un commentaire. Vous avez jusqu’au mardi, 19 août à minuit (heure de Montréal) pour participer et j’annoncerai le nom du ou de la gagnante dans la goutte du lendemain. Merci et Bonne chance !
AJOUT: LE TIRAGE EST TERMINÉ. MERCI D’AVOIR PARTICIPÉ!
Oh, et voici une peinture sur le thème du jour, que je vous offre même si Dali était un salopard de fasciste (en plus d’un agresseur).
À demain pour un autre tercet obscène.
Si l’envie vous prend d’appuyer financièrement ce projet, n’hésitez surtout pas à le faire!
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