Quelques sirventès
À réciter pendant qu'on
Abat tous les murs.

Ça n’a pas grand chose à voir avec les Mille gouttes opalines, mais je suis si excitée qu’il faut que je vous en parle ici. Sirventès, mon premier recueil de poésie, vient de paraitre chez Moult. Si je pouvais voyager dans le temps et raconter ça à mon moi de 15 ans, je pense qu’elle se mettrait à pleurer de bonheur.
Voici la quatrième de couverture:
Le sirventès est un poème à caractère satirique, politique ou moral que chantaient les troubadours des 12e et 13e siècles. Avec son insolence habituelle, Anne Archet en a repris l’esprit, sinon la forme : les poèmes au gaz lacrymogène de Sirventès chantent la révolte, l’espoir, l’anarchie et la révolution dans le vacarme d’une société qui s’écroule et s’enfonce dans l’abjection. Un livre à mettre dans toutes les mains qui ne tiennent pas encore un cocktail molotov.

Je suis si high de bonheur que je vais en offrir un exemplaire dédicacé à une personne choisie au hasard parmi celles qui auront commenté ce post. Vous avez jusqu’à dimanche le 15 juin 2025 à minuit (heure de Montréal) pour participer et le nom du gagnant ou de la gagnante sera annoncé le lendemain.
Bonne chance à toustes !

À demain pour un autre tercet obscène.
Si l’envie vous prend d’appuyer financièrement ce projet, n’hésitez surtout pas à le faire!


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