Mille gouttes opalines

Un senryū érotique chaque matin, pendant mille jours

Cent-quarante-deuxième goutte

J’ai trop bu de foutre
Ça m’a donné une haleine
De slip mal lavé.

Si vous êtes pauvre comme moi, vous devez vous contenter de mener une vie de débauche pour sentir le sang, le sperme la sueur et la salive. Si par contre vous faites partie de la bourgeoisie blasée et revenue de tout – et que vous avez 150$ à dépenser en pure perte – la fragrance Sécrétions magnifiques d’État libre d’orange est pour vous.

Si vous êtes curieux·se de savoir quel effet ça fait de le porter, la journaliste Alliee Contie vous le raconte dans un numéro de 2012 du magazine Vice. Comme on le dit Nelson dans les Simpsons: smell you later.

À demain pour un autre tercet obscène.

Si l’envie vous prend d’appuyer financièrement ce projet, n’hésitez surtout pas à le faire!

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Une réponse à « Cent-quarante-deuxième goutte »

  1. Avatar de Huit-cent-cinquante-cinquième goutte – Mille gouttes opalines

    […] parlé dans la cent-quarante-deuxième goutte (il y a de cela deux ans, maille gode, ça me semble une éternité) du parfum Sécrétions […]

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