J’ai vissé ton lit
Puis je m’y suis allongée
Pour lisser ton vit.

Considérant qu’il ne reste que seize gouttes, c’est peut-être la dernière fois que je vous soumets une contrepèterie niaiseuse. C’est triste, quand on y pense.

Puisque c’est la dernière fois, en voici d’autres tirées d’Amants, mon livre que personne ne lit.
Jean, mon premier amant, a commencé par m’apaiser en me berçant,
Puis lorsque je fus suffisamment rassérénée, il m’a baisée en me perçant.Indar s’ennuyait ferme à Fermont, car les Nord-Côtiers avaient, selon lui,
Du fer à ne pas savoir quoi en foutre et du foutre à ne pas savoir quoi en faire.Bert a ramoné ma cheminée et a nettoyé ma valve à fumée,
Puis a tombé son pantalon taché de suie pour s’occuper de ma vulve affamée.Umi travaillait à Postes Canada et arborait fièrement un Prince Albert ;
C’est la seule fois que j’ai rencontré un facteur voué au tri troué au vit.Idan était un petit génie qui avait obtenu en France le bac à treize ans,
Mais ça ne l’empêchait pas au Québec d’avoir toujours le trac en baisant.Icare m’a raconté l’histoire de cette militante qui, près des piliers de mines,
Pour organiser un syndicat se serait tapé près d’un millier de pines.Usibe m’a promis du bon temps et j’ai quitté la ferme pleine d’espoir ;
J’ai rencontré ses copains à l’expo agricole et j’ai quitté la foire pleine de sperme.
Je vais arrêter ici, avant que le QI général ait baissé de trois points 🤪

À demain pour un autre tercet obscène.
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