Mille gouttes opalines

Un senryū érotique chaque matin, pendant mille jours

Neuf-cent-soixante-dixième goutte

Deux doigts bien placés
Suffisent pour un remake
De Niagara. 

Maille gode ! Pouvez-vous croire que nous en sommes au dernier mois de Mille gouttes opalines ? Ça me donne des tas d’émotions que j’ai de la difficulté à départager… va falloir que j’en parle à ma psy.

Anywho. Croyez-le ou non, j’ai écrit il y a fort longtemps un texte sur le thème du senryū du jour. Enjoy !

Pari tenu

« Chiche ! » me dit-elle.

Je me levai et revint au bout de quelques instants avec le caméscope et son trépied. Bonne joueuse, elle alluma m’aida à installer tout le barda. J’enlevai ma culotte et écartai mes jambes, puis plaçai l’objectif devant ma chatte, de sorte de bien exposer tous mes orifices.

J’écartai les grandes lèvres, puis les petites, projetant ainsi à l’écran ma chatte dans toute ma splendeur. Je passai ensuite à l’anus. J’entrepris le même manège, le malaxant, l’écartant au maximum. Je mouillais abondamment, et, passant ma main sur tous mes trous pour bien les humecter, je portai ma main à ma bouche et la léchai mes propres jus.

Puis, au bout d’un moment, je sentis venir en moi l’envie tant désirée. Sur l’écran, je vis apparaître à la commissure des lèvres une petite goutte. Celle-ci glissa ensuite vers mon anus, laissant derrière elle une marque luisante.

Je posai mon index sur mon anus et remonta mon doigt, suivant le tracé de cette petite goutte. J’arrivai sur mes lèvres, les caressant au passage. Puis, de nouvelles gouttes virent leur apparition. Je retirai mon doigt pour m’admirer en train de pisser. Les gouttes se firent de plus en plus nombreuses, puis finirent en cascade. J’avais l’entrejambe trempé, mais qu’importe, j’étais absorbée dans la contemplation de cette chatte télévisée déversant en gros plan sa cascade d’urine sans discontinuer.

Pour varier le jeu, je plaçai ma main à certains endroits, faisant dévier le jet, suffisamment puissant pour arroser la lentille. Au bout d’un moment, la source finit par se tarir, ne laissant que quelques gouttes qui me dégoulinaient des cuisses, finissant de remplir la flaque qui s’était formée sur le parquet.

Je la regardai, fière de ma démonstration. Elle n’avait pourtant pas l’air très convaincue : « C’est bien beau tout ça », me dit-elle, « mais ça ne prouve pas que tu aurais pu jouer dans Niagara ».

À demain pour un autre tercet obscène.

Si l’envie vous prend d’appuyer financièrement ce projet, n’hésitez surtout pas à le faire!

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Une réponse à « Neuf-cent-soixante-dixième goutte »

  1. Avatar de Jérôme D
    Jérôme D

    Mais qu’est-ce que l’on va devenir le 1er novembre ? Encore une triste nouvelle…

    J’aime

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