Mille gouttes opalines

Un senryū érotique chaque matin, pendant mille jours

Neuf-cent-vingt-huitième goutte

Il vient un temps où 
On a tellement aimé
Qu’on ne sent plus rien. 

Je vous laisse deviner les deux sens de ce senryū. Moi, ça me rend triste, alors je vous refile «Trois amants» de Théodore Géricault (1819), pour ce consoler un peu.

À demain pour un autre tercet obscène.

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