Soir de canicule
Dans un sentier à l’écart
Des queues à cueillir.

J’ai déjà parlé (dans la deux-cent-vingt-sixième goutte) de l’écosexualité d’Elizabeth Stephens et Annie Sprinkle. En 2016, cette démarche/doctrine militante a inspiré les artistes de l’Ecosexual Bathhouse de faire l’amour avec la terre. Ça date un peu, mais ça vaut le coup d’œil.

Je me souviens à l’époque d’avoir trouvé ça très rigolo (parce que j’aime beaucoup rire des hippies). En 2025, il n’y a plus grand chose qui me fait rigoler et je suis nostalgique de ces joies simples, saines et gnéseuses.

À demain pour un autre tercet obscène.
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