Mille gouttes opalines

Un senryū érotique chaque matin, pendant mille jours

Neuf-cent-treizième goutte

Elle aime un peu trop
Ces jeux qu’elle sait d’avance
Qu’ils vont mal finir.

Paul Chan, Sade for Sade’s Sake (2009)

À demain pour un autre tercet obscène.

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