Mille gouttes opalines

Un senryū érotique chaque matin, pendant mille jours

Sept-cent-cinquante-cinquième goutte

Viens chez moi et je
Te montre ma chatte dans
Un pot de formol.  

Ha ha ha, c’est drôle parce que la chatte c’est aussi… enfin bref.

Cela dit, voici une photo de chaton dans le formol. Profitons-en pour apprendre un nouveau mot: opodyme – qui n’a qu’un seul corps, mais dont la tête, unique par derrière, se sépare en deux faces distinctes.

En vous souhaitant de ne pas le revoir ce soir dans vos cauchemars.

À demain pour un autre tercet obscène.

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