Mille gouttes opalines

Un senryū érotique chaque matin, pendant mille jours

Sept-cent-cinquante-troisième goutte

Chim chimney chim
Je chantonne en ramonant
D’un doigt ton urètre.  

Je sais que ce senryū va faire grincer beaucoup de dents, alors pour vous changer les idées, écoutons Dick Van Dyke (maille gode, quel nom incroyable) chanter ce célèbre ver d’oreille.

Un doute m’assaille… qu’est-ce qui fait le plus grincer des dents? L’évocation du sodurètre, ou cette chanson qui joue maintenant non-stop dans ma tête? Je ne sais pas pour vous, mais pour moi, c’est résolument la seconde option. CHIM CHIMINEY CHIM CHIMINEY CHIM CHIM CHEREE LA LA LA LA LA LA LA LA LA LA CHIM CHIMINEY CHIM CHIMINEY CHIM CHIM CHEREE LA LA LA LA LA LA LA LA LA LA CHIM CHIMINEY CHIM CHIMINEY CHIM CHIM CHEREE LA LA LA LA LA LA LA LA LA LA CHIM CHIMINEY CHIM CHIMINEY CHIM CHIM CHEREE LA LA LA LA LA LA LA LA LA LA AIDEZ-MOI JE VOUS UN SUPPLIE !

À demain pour un autre tercet obscène.

Si l’envie vous prend d’appuyer financièrement ce projet, n’hésitez surtout pas à le faire!

Vous désabonner

Participez à la discussion !

En savoir plus sur Mille gouttes opalines

Abonnez-vous pour poursuivre la lecture et avoir accès à l’ensemble des archives.

Poursuivre la lecture