Mille gouttes opalines

Un senryū érotique chaque matin, pendant mille jours

Sept-cent-vingt-huitième goutte

Après le coït
Il me dit qu’il est un flic
Cauchemar horrible.

«La police me répugne, elle doit être combattue et abolie. Pas réformée, pas remplacée par une version améliorée et sans gluten de la précédente », voilà ce que j’écrivais dans Police = ennemi en 2016.

Extrait :

Je ne réclame pas une réforme de la police. Je ne veux pas qu’elle soit moins raciste et sexiste. Je ne veux pas qu’elle cesse de taper sans raison sur les pauvres et les marginaux. Je ne veux pas qu’elle soit plus civilisée, plus respectueuse, plus efficace. Je veux que nous agissions pour que leur tâche devienne injustifiable et impossible.

À demain pour un autre tercet obscène.

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Une réponse à « Sept-cent-vingt-huitième goutte »

  1. Avatar de Nazaire

    Une grande partie de l’activité policière est déjà injustifiable (taper sur tout ce qui dépasse), et presque tout reste est impossible (war on drugs, terrorism, empêcher les abrutis de faire des choses d’abrutis, etc.) Ce qui est utile pourrait le plus souvent être confié à des gens sans haine ni armes.

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