Mille gouttes opalines

Un senryū érotique chaque matin, pendant mille jours

Sept-cent-vingt-cinquième goutte

Mes narines sont
Hélas trop étroites pour
Qu’on me foute en nez.  

Je ne suis pas une biologiste ou une anthropologue physique. Je ne suis pas une experte spécialiste de l’évolution de l’espèce humaine. La seule chose que je sais, c’est que si nous avions eu des narines et des conduits auditifs juste un peu plus larges, c’est sûr que des pénis se seraient ramassés continuellement dedans. Et que l’expérience de l’humanité sur terre aurait été potentiellement fort différente.

Quoi qu’il en soit, certaines personnes dont le kink est la nasophilie aiment éjaculer dans les narines, à défaut de pouvoir les pénétrer. Je ne vais pas vous refiler les liens, mais vous trouverez facilement du matériel pornographique mettant en scène ce fantasme très niché en utilisant votre moteur de recherche préféré.

Ce que vous ne trouverez pas, par contre, ce sont des adeptes du transhumanisme qui prévoient la multiplication des orifices à pénétrer sur le corps humain. Ces gens manquent cruellement d’imagination, faut croire.

À demain pour un autre tercet obscène.

Si l’envie vous prend d’appuyer financièrement ce projet, n’hésitez surtout pas à le faire!

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