Mille gouttes opalines

Un senryū érotique chaque matin, pendant mille jours

Six-cent-soixante-quatrième goutte

Téléphone-moi
Je te susurrerai les
Horreurs qui t’excitent.

Pour illustrer le senryū du jour, j’ai pris la (mauvaise) décision de vous soumettre la chanson qui a donné son titre au dernier album de Village People – en 1985, alors que leur gloire était depuis longtemps passée.

Je ne sais pas si cette chanson a été réhabilitée comme le reste de la production disco, mais ça vaut la peine de mentionner qu’à l’époque, elle a connu un sujet mitigé. Les gens du village n’étaient visiblement plus en phase avec leur époque.

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