Mille gouttes opalines

Un senryū érotique chaque matin, pendant mille jours

Six-cent-trente-septième goutte

Tu tires mes poils
Quand ma vessie, je soulage
Plaisir juvénile.  

François BoucherLa Femme Qui Pisse ou L’Œil Indiscret, entre 1742 et 1765.

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