Mille gouttes opalines

Un senryū érotique chaque matin, pendant mille jours

Six-cent-dixième goutte

Une feuille morte 
Est tombée dans ma culotte
Pendant notre étreinte. 

Les feuilles mortes se ramassent à la petite culotte.

Bon ça y est, j’ai la chanson dans la tête. Pour exorciser ce ver d’oreille, écoutons ma version préférée: celle d’Eugen Cicero.

À demain pour un autre tercet obscène.

Si l’envie vous prend d’appuyer financièrement ce projet, n’hésitez surtout pas à le faire!

Participez à la discussion !

En savoir plus sur Mille gouttes opalines

Abonnez-vous pour poursuivre la lecture et avoir accès à l’ensemble des archives.

Poursuivre la lecture