Mille gouttes opalines

Un senryū érotique chaque matin, pendant mille jours

Six-cent-cinquième goutte

Je voudrais leurs bites
Qui me prendraient où j’habite
À la queue-leu-leu.

Les marginaux ont toujours la réputation d’avoir les mœurs lestes. Je vous ai déjà refilé un film porno des années soixante mettant en scène une orgie de dangereux hippies; en voici une qui date des années cinquante et qui montre à quel point les beatniks sont dépravés.

À demain pour un autre tercet obscène.

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