Le vrai bonheur dans
Une vie aliénée
Se compte en secondes.

Dans mon cas, ce sont les secondes de l’orgasme, évidemment.
Pour une raison quelconque ce senryū qui suit m’a fait penser au film de Guy Debord de 1952, Hurlements en faveur de Sade.
Je me suis alors dit qu’il faudrait bien que je le regarde, après en avoir tant entendu parler. Je l’ai trouvé sur Yourte en Tube et franchement, je n’ai pas été déçue. Avis aux intéressé·es, ça commence à être vraiment bon à partir de 40:41. Restez jusqu’à la fin, la surprise est intense.

À demain pour un autre tercet obscène.
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