Mille gouttes opalines

Un senryū érotique chaque matin, pendant mille jours

Cinq-cent-quarante-septième goutte

J’ai un jardinier
Qui chaque dimanche vient
Me faire la cour.  

Voici une des sept-cent-quarante-et-une pénétrations d’Amants qui a un vague lien avec le sujet du jour.

Uzza avait une maison avec des lutins qui pêchaient sur la pelouse;

C’était en fait un bordel où des putains me léchaient en partouze.

À demain pour un autre tercet obscène.

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