Tatoué au cul :
« Défense de me baiser
Quand je suis bourrée ».

Je vous ai déjà raconté dans la quatre-cent-quarante-deuxième goutte que quel que soit l’état d’ébriété, personne ne mérite ou ne demande à être violé·e ou agressé·e sexuellement. Je ne vais pas encore vous faire la morale à ce sujet; je vais juste vous dire de ne pas attendre à le lire tatoué sur nos peaux pour respecter notre consentement – même lorsque nous sommes intoxiquées.

Le corollaire à ce tatouage est que s’il n’y a pas de oui, alors c’est non.

À demain pour un autre tercet obscène.
Si l’envie vous prend d’appuyer financièrement ce projet, n’hésitez surtout pas à le faire!


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