Mille gouttes opalines

Un senryū érotique chaque matin, pendant mille jours

Cinq-cent-seizième goutte

Ces mille senryūs 
Ne chantent que ce qui est
En bas du nombril. 
IMAYŌ IROKUMI NO ITO, par Katsukawa Shunchō (1786)

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À vot’ bon coeur, Dieu vous le remettrait au centuple s’il existait.

À demain pour un autre tercet obscène.

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