Mille gouttes opalines

Un senryū érotique chaque matin, pendant mille jours

Quatre-cent-soixante-dix-septième goutte

La leçon de chant
À l’étage du dessus
Vire à la partouze.

Je suis toujours surprise de constater l’étendue des fantasmes couverts par la production pornographique contemporaine – du moins, par la porno moins mainstream. Pour aller avec le thème du jour, voici deux vidéos mettant en scène une certaine Julia July qui, selon ses dires, a joué le rôle de Zerlina dans une production de Don Giovanni de Mozart et qui chante un des arias de l’opéra (Batti, Batti o bel Masetto) pendant qu’elle se fait attacher, fustiger, fouetter, masturber, baiser et tirer les cheveux.

(Inutile de vous recommander de ne pas cliquer sur les liens qui suivent si vous ne désirez pas vous exposer à ce type de relation BDSM consensuelle, je crois que vous êtes suffisamment averti·e).

À demain pour un autre tercet obscène.

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