On retrouve dans
Le vide : mode d’emploi
Des obscénités.
Vous pensiez que j’allais m’abstenir de faire de autopromotion, han? Cinq jours avant Noël, en plus, alors qu’il vous reste des cadeaux à acheter? Vous pensiez que je n’allais pas vous encourager à tomber dans cette orgie de surconsommation annuelle, lorsque que les temps sont si durs? Ce serait me surestimer, mes chéri·es.
Le Vide: mode d’emploi (2022) est mon quatrième livre et le premier qui ne soit pas consacré à la littérature érotique. Évidemment, on ne se refait pas et je n’ai pas pu m’empêcher de glisser des sentences sur le sexe et d’érotisme dans ce recueil d’aphorismes qui, dois-je le rappeler, est toujours disponible pour le vol à l’étalage dans toutes les bonnes librairies (et surtout les mauvaises, wink wink, nudge nudge).
Semble-t-il que ce livre a fait de moi une icône de l’humour éthique – du moins, c’est ce que Jérôme Cotte raconte dans son livre et qui suis-je pour juger, han :
Est-ce toutefois éthique de se servir de tout cela pour vous quêter de l’argent? Probablement pas, mais je vais le faire quand même ! J’ai moi-même des étrennes à acheter, alors à votre bon cœur m’sieurs dames et Mx, dieu pas ne vous le rendra pas au centuple, il est trop occupé en ce moment à ne pas exister.
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À demain pour un autre tercet obscène.
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