Mille gouttes opalines

Un senryū érotique chaque matin, pendant mille jours

Deux-cent-trente-troisième goutte

C’est un vil cliché
De faire rimer confesse
Avec con et fesses.

En fait, ça ne l’était pas de l’époque du peintre surréaliste Clovis Trouille, dont les oeuvres érotisent fortement le catholicisme en général et le confessional en particuler.

Le confessional (1959)
Dialogue au Carmel (1944)
Le baiser du confesseur (1947)

On reparlera de Clovis Trouille plus longuement dans la cinq-cent-trente-quatrième goutte, ne vous inquiétez pas.

À demain pour un autre tercet obscène.

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