Une vulve large
Douce et généreuse comme
La terre d’accueil.

La sexécologie (ou l’écosexualité) est une forme radicale d’activisme environnemental basée sur le fétichisme de la nature et l’idée que la terre est une amante. Invitant les gens à traiter la terre avec amour plutôt que de la considérer comme une ressource infinie à exploiter, elle a été imaginée/fondée/inventée/délirée par Elizabeth Stephens et Annie Sprinkle, qui se décrivent comme des «artistes écosexuelles amoureuses» dont l’objectif est de rendre l’activisme environnemental «plus sexy, plus amusant et plus diversifié».

Sexecology utilise l’humour absurde, l’art de la performance et la sexe-positivité, ce qui, selon Stephens, «peut produire de nouvelles formes de connaissances susceptibles de modifier l’avenir en privilégiant notre désir de voir la Terre fonctionner avec autant de systèmes écologiques divers, intacts et florissants que possible». Le couple promeut l’éducation, des événements tels que le symposium écosexuel, et l’activisme, comme la protection des Appalaches contre l’exploitation minière destructive.

À demain pour un autre tercet obscène.
Si l’envie vous prend d’appuyer financièrement ce projet, n’hésitez surtout pas à le faire!


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