Mille gouttes opalines

Un senryū érotique chaque matin, pendant mille jours

Deux-cent-cinquième goutte

Soupirs étouffés
Sous-entendus graveleux
Regards appuyés.

(C’est vraiment un beau mot, « forcenée ». Je le préfère à « déchaînée », qui évoque « être libérée de ses chaînes », alors que forcenée, ça sonne comme « née dans la force », voire « issue de la volonté de puissance ».

C’est pour ça que je dis toujours que je baise comme une forcenée, que je suce des bites comme une forcenée, que je me fais bourrer le cul comme une forcenée – parce que ça montre à quel point j’y puise mon énergie vitale.)

À demain pour un autre tercet obscène.

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