Mille gouttes opalines

Un senryū érotique chaque matin, pendant mille jours

Deux-cent-quatrième goutte

Le syndic de l’Ordre
Des poètes me poursuit :
Pratique illégale.

J’essaie en ce moment de faire publier mon premier recueil de poésie, alors mon syndrome de l’imposteur est à son zénith.

Pour ne pas vous embêter avec mes trouilles d’écrivaine – et pour changer subtilement de sujet – voici une oeuvre de Clovis Trouille.

Clovis Trouille,Dolmancé et ses fantômes de luxure, 1958-1965

À demain pour un autre tercet obscène.

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