Mille gouttes opalines

Un senryū érotique chaque matin, pendant mille jours

Cent-quatre-vingt-huitième goutte

J’ai dédié à
Un homme de peu de mots
Ce très court senryū.

Un poème de peu de mots extrait du recueil de Karai Senryū (1765):

Triste et sans-abri
Ce pou de con qui repose
Sur le mont rasé.

À demain pour un autre tercet obscène.

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