Mille gouttes opalines

Un senryū érotique chaque matin, pendant mille jours

Cent-quarante-neuvième goutte

Cerne sur le mur
Je crois que tu aimes trop
Copuler debout. 

Confession: c’est à la station Laurier du métro de Montréal que je pensais en écrivant ce senryū – et les passagers fantomatiques imprimés par l’usure sur le granit de ses murs.

À demain pour un autre tercet obscène.

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