Mille gouttes opalines

Un senryū érotique chaque matin, pendant mille jours

Cent-quinzième goutte

Je crie en jouissant :
« Salopard ! Satyre ! Ordure ! »
Et tu me souris.

Sur ce thème, voici un fragment tiré du Carnet incarnat:

Après des mois de séparation, Nous reprenons Marcus et moi les choses où nous les avions laissées (le cul et la bite, essentiellement).

— Allez ! Fais voir ton cul! Allez montre ! Ne fais pas ta mijaurée ! »

— Pas question, salopard ! Va te branler avec une poignée d’agrafes, bite molle ! »

(Nous ne pensons pas ce que nous disons, mais il faut bien respecter les formes et les usages, après toutes ces années. Après tout, les préliminaires, c’est si important…)

À demain pour un autre tercet obscène.

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