Mille gouttes opalines

Un senryū érotique chaque matin, pendant mille jours

Cent-septième goutte

Le vice-roi peut
Baiser mon cul, car je suis
La reine du vice.

Autrement dit: je ne gagnerai jamais le Prix de la Gouverneure générale et c’est bien dommage. J’aurais tant aimé le refuser après avoir dit : « Je suis très flattée que la vice-reine ait décidé d’honorer la reine du vice ».

Bonne fête de la reine à tous celleux qui ne fêtent pas les patriotes de 1837-1838! En ce qui me concerne, je ne fête rien d’autre que la possibilité de me lever à midi – comme chaque année 😉.

Oh, et à bas la monarchie!

À demain pour un autre tercet obscène.

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