Mille gouttes opalines

Un senryū érotique chaque matin, pendant mille jours

Soixante-treizième goutte

Ma poésie fleure
Le suc vaginal et le
Gaz lacrymogène. 

Si votre odorat est titillé, je vous invite à lire Ce ne sont que des mots (mes poésies érotiques qui trempent dans les sécrétions génitales) et mes Sirventès (mes poésies anarchistes, sur le Blog flegmatique d’Anne Archet – qui seront bientôt publiées chez Moult).

À demain pour un autre tercet obscène.

Si l’envie vous prend d’appuyer financièrement ce projet, n’hésitez surtout pas à le faire!

Vous désabonner

Participez à la discussion !

En savoir plus sur Mille gouttes opalines

Abonnez-vous pour poursuivre la lecture et avoir accès à l’ensemble des archives.

Poursuivre la lecture